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F**K
Its pretty good.
This wasn't to bad, had some cheese moments but otherwise I liked it. Hope the next one is even better
S**Y
Revisting Luke Cage after 30 plus years
I enjoyed reading the story and plan to purchase the sequel that will be released in May. The art work is also very good, unlike some of Marvel's other product where the story is good and the art work is less than stellar. Based upon reading this graphic novel I plan on purchasing other graphic novels David Walker has written.
C**E
Good Read, Although the Book Shares Similar Themes to the Netflix Show and Some Twists are Rather Predictable
Luke Cage's solo book begins the death of Dr. Noah Burnstein, the scientist responsible for transforming Luke into the unbreakable man. Luke travels south to attend Noah's funeral only to run afoul of a plot to kidnap Noah's lab assistant and restart his work. As Luke dives deeper into the mystery surrounding his "father's" passing, he'll learn that he was far from the only unbreakable man Burnstein's work created (including his old foe and sometimes enemy Warhawk) and that Luke alone managed to survive the experiments without some terrible side effects. The artwork is good throughout the book though a bit simple in terms of backgrounds and staging. The book falters a book due to the plotting. The whole set up about Burnstein's work just isn't that surprising or interesting (especially if you've seen the Luke Cage TV show and have already seen the whole "evil brother" plot play out in that form with a re imagined Diamondback). Warhawk (the "evil brother" of this book) at least is a fun character due to his odd mannerisms and psychosis, but the late game twist about Burnstein is a tad predictable. All in all, a good read, but not a groundbreaking series worthy of the awesome title character.
E**Y
Four Stars
big fan
C**E
Many graphic novels are better than regular books. This is one of them.
Luke Cage is a fairly new hero to me. I have never read any of his comics but I know of him. I was given this book by my son because he knows that I read anything and I am a very big Marvel comics fan. His origin story is somewhat unique to the Marvel Universe. He was set up, framed and wrongly accused. He went to prison,escaped and established a new identity,until he was able to prove his innocence. The first thing I would like to point out is that when you are imprisoned you become a dead slave. You become a ghost because nobody wants to talk about you or what happened, nobody remembers you. You become like a dead ancestor who needs light, libations prayers and any kind of offerings, to gain strength and become a good soul. All these people who frames and sets people up for a living should know how it feels. You can't help but admire Luke Cage because not only did he become a hero for hire, he was able to overcome he things that happened to him and work with some of the most important, famous and talented heroes from the Marvel Universe. It was actually a very good book and a great job was done displaying his super strength and bullet proof skin. Noah Burstein was Luke's father figure so it should not come as a surprise that he wanted to investigate any foul play which he did find. This guy is not a side kick type. At the end of the book we realize that his father is not dead but went underground to continue his experiments. I won't say anymore. It has great dialogue. Just read it.
D**E
Solid as Luke Cage
Solid work from David F. Walker
B**S
Why did they do this?
When David Walker and Sandford Greene revamped the buddy duo of Power Man and Iron Fist, I was on board. Although I had never been a big fan of these two, I totally fell over (see my review of Power Man and Iron Fist Vol. 1: The Boys Are Back In Town (Power Man and Iron Fist (2016-2017)) ).After only 16 issues Greene left or was dismissed. Danny Rand had to go too to have an own book. They separated Luke and Jessica and took him out of Harlem.Why? What makes Luke Cage strong is that he has a street level home, some history and great supporting personnel. What makes him strong is the odd pairing with a careless billionaire boy who has an iron fist. They took it all away. I do not know whether this was editorial decision or creative decision by Walker, but it does not work for me. The book changed in tone totally, and I miss both the supporting cast and the quirky pencils of Greene.When Luke Cage hears about the death of Dr. Noah Burstein, the man who made him Power Man, he goes to New Orleans for the funeral. But things are not always what they seem. The story is okay, the pencils of Nelson Blake flawless, but after Harlem all this is not quite my cup of tea. This volume collects Luke Cage #1-5. I will read on but without enthusiasm. Now I have to wait for “Bitter Root” by Walker/Greene at Image Comics.
P**E
Le retour de Luke Cage, sans tambour ni trompette
Ce tome est le premier d'une nouvelle série consacrée au personnage de Luke Cage qui ne nécessite qu'une connaissance superficielle du personnage. Il comprend les épisodes 1 à 5, initialement parus en 2017, écrits par David F. Walker, dessinés et encrés par Nelson Blake II, avec une mise en couleurs réalisée par Marcio Menys, et des couvertures réalisées par Rahzzah. Ce tome comprend également les couvertures alternatives réalisées par Mike Deodato junior, Neal Adams, Tim Bradstreet, André Leroy Davis, John Cassaday, Julian Totino Tedesco. Il se termine avec une postface rédigée par David F. Walker dans laquelle il raconte comment il a découvert Luke Cage la première fois et ce qu'il a représenté pour lui.C'est l'histoire de Luke Cage qui rentre dans un bar à Harlem. Il demande à Miss Laronda qui est derrière le comptoir, s'il y a quelqu'un dans la salle des banquets. La dame finit par acquiescer et par accepter la liasse de billets que lui tend Cage pour la casse qu'il va occasionner. Il démolit le portrait d'une demi-douzaine de gugusses armés sur son chemin, et finit par arriver dans une pièce où une jeune femme est ligotée sur une chaise, et tenue en joue par un homme armé. Il négocie rapidement avec le kidnappeur après avoir évoqué la rançon, et ramène la demoiselle à ses parents. Alors qu'il s'éloigne de leur appartement son téléphone sonne. Il s'agit d'une voix femme qui lui apprend le décès du docteur Noah Burntstein. Luke Cage se rend à la Nouvelle Orléans pour assister aux funérailles. Après la cérémonie de mise en terre, il est abordé par Lenore Mornay qui lui indique que c'est elle qui l'a appelé et qu'elle souhaite s'entretenir avec lui.Luke Cage accepte de suivre Lenore Mornay et de monter dans sa voiture. Elle l'emmène à la demeure de Cyril Morgan. Ce dernier le remercie de ce qu'il a fait pour son fils. En effet après avoir expérimenté sur Luke Cage (alors appelé Carl Lucas), le docteur Noah Burnstein a continué de travailler sur sa formule et a traité de nombreux patients par la suite, dont Caleb Mornay, le fils de Cyril Mornay, qui était atteint d'une maladie dégénérative. Après avoir écouté le discours un peu gênant de cet individu, Lenore Mornay propose à Cage de le ramener à son hôtel en voiture. Alors qu'elle lui en dit plus sur les activités récentes de Burnstein, la voiture qui les suivait les double et les serre jusqu'à obliger Mornay à faire une sortie de route et à percuter un arbre. Luke Cage sort de la voiture et s'apprête à confronter leurs poursuivants. Ils disposent d'une arme capable de couper sa peau et de le faire saigner. Heureusement quelqu'un finit par venir à son aide.Dans la postface, David F. Walker explique à quel point Powerman a été important pour lui dans sa jeunesse, quand il a découvert qu'un afro-américain pouvait être le héros principal d'une série, et même avoir sa propre série à son nom. Il a donc la ferme intention de faire honneur au personnage, et il en va de même pour le dessinateur, 2 créateurs afro-américains. Le scénariste commence donc par une scène rappelant la force de Luke Cage et son implication auprès des communautés du quartier. Il fait en sorte de l'éloigner de New York, ce qui lui permet de s'affranchir de devoir mettre en scène ses autres copains superhéros des Avengers, sa femme Jessica Jones ou encore sa fille Danielle. Une fois le prologue passé, l'action se déroule donc à la Nouvelle Orléans et se concentre sur le docteur Noah Burnstein, et les conséquences des liens entre lui et Luke Cage. Le lecteur retrouve même Warhawk (Mitchell Tanner), un personnage créé par Chris Claremont & Pat Broderick en 1975, dans le numéro 23 de la série Marvel Premiere. De ce point de vue, le scénariste confirme qu'il est attaché à l'origine du personnage et qu'il souhaite y rendre hommage.David F. Walker a bâti le début de son récit sur le principe d'une enquête menée par Luke Cage. Le héros est plongé dans une situation dont il ignore les tenants et les aboutissants, et qui concerne la mort de Noah Burnstein dans des circonstances peu convaincantes. S'agit-il bien d'un suicide ou y aurait-il eu des conflits d'intérêt menant à un meurtre ? Luke Cage se retrouve directement impliqué dans cette enquête non seulement parce qu'il fut un cobaye du bon docteur, mais aussi parce qu'il semble être l'un des seuls à ne pas avoir souffert d'effet secondaire de type psychologique. Après la mort de Burnstein, son corps recèle peut-être la seule indication sur le principe actif qui pourrait contrecarrer les effets sur les autres cobayes. Rapidement, Luke Cage se retrouve confronté à des individus prêts à le neutraliser par la force pour le compte de commanditaires dont il ne connaît par l'identité. Il se rend compte également que Lenore Mornay se montre trop aidante pour ne pas cacher quelque chose.Le scénariste met en scène la version très urbaine de Luke Cage, débarrassé de ses oripeaux de superhéros, vêtu d'un pantalon de ville et d'un teeshirt jaune, comme en souvenir du bon vieux temps, mais sans être jaune canari quand même. Cage arbore également un collier de barbe soigneusement taillé et le crâne rasé, choix d'apparence plus récents. Walker le dépeint comme quelqu'un de posé, enclin à réfléchir avant d'agir, animé par l'envie d'aider son prochain en n'utilisant la violence qu'en dernier recours. Il se tient donc à l'écart des clichés associés au personnage de rue trop dangereux. Il montre un adulte conscient de sa force, mais sachant aussi qu'elle ne résout pas les problèmes. Le comportement adulte de Luke Cage se retrouve également dans le fait qu'il se résout à faire équipe avec Mitchell Tanner (Warhawk) pas très bien dans sa tête, et auquel il a été confronté à plusieurs reprises dans le passé. Le récit ne verse pas dans le genre policier hard-boiled, et le lecteur devine rapidement qui est derrière les combines qui nécessitent de maîtriser et de disposer de Luke Cage. Walker étoffe son scénario en mettant en scène les relations entre Cage et Burnstein, et explicitant la manière dont ce dernier considère les jeunes hommes sur lesquels il a opéré. Il évoque également le fait que ce scientifique de génie ne s'est pas trop préoccupé de savoir d'où venaient ses fonds.Nelson Blake II réalise de dessins s'inscrivant dans un registre descriptif, très propres sur eux. Il détoure les formes avec des traits très fins, de 2 épaisseurs différentes, sans variation d'épaisseur. Les différents personnages ont des anatomies d'individus faisant attention à leur silhouette, et de culturistes pour ceux qui disposent d'une force augmentée par le traitement de Noah Burnstein. Il varie les tenues vestimentaires d'un individu à l'autre, en fonction de leur appartenance à une classe, sociale, cravate et veston pour Cyril Morgan, jean et teeshirt pour Kevin et son gang, petite robe noire pour Lenore Mornay. De page en page, le lecteur ressent que cette approche réaliste fait aussi apparaître que les expressions des visages manquent un peu de nuance, et que le langage corporel des individus n'est pas très parlant. Les confrontations physiques sont très facilement lisibles, mais leur représentation quasi clinique leur ôte tout panache, toute dimension spectaculaire.Nelson Blake II applique une approche tout aussi claire et nette pour les éléments de décors. Le lecteur peut regarder les tables bien carrées et les tabourets bien alignés devant le comptoir dans le bar, les appareils aux formes géométriques dans la salle d'opération du docteur Burnstein, la façade tirée au cordeau de la demeure luxueuse de Cyril Morgan, et les lattes de bois rigoureusement rectangulaires de la maison de Kevin. Il constate que régulièrement les décors sont abandonnés au profit de camaïeux peu expressifs. Il se dégage des différents environnements une impression de froideur générée par l'utilisation trop basique d'un logiciel de modélisation 3D. Marci Menyz ajoute consciencieusement des teintes avec des variations de nuance pour habiller les surfaces, tout en veillant à ne pas appliquer de couleurs trop vives, ou à utiliser des effets spéciaux trop soutenus, pour ne pas écraser les lignes encrées. Le résultat final reste fade et froid.En refermant ce tome, le lecteur regrette d'avoir découvert une histoire convenue et poussive. David F. Walker a effectivement fait le nécessaire pour éviter de raconter une histoire de superhéros de plus, pour impliquer des civils, pour plonger dans l'histoire personnelle de Luke Cage, et pour évoquer les conséquences des pratiques d'une médecine sans conscience. Les dessins de Nelson Blake sont précis et appliqués, mais trop cliniques et un peu rigides. Le scénario est trop respectueux et trop linéaire. Les personnages n'acquièrent pas de personnalité, ils se contentent d'un trait de caractère principal et de faire avancer l'intrigue, sans supplément d'âme. Les lieux deviennent vite génériques et fonctionnels, parfois un peu vides et artificiels. L'intrigue se déroule, elle aussi artificielle, avec une révélation de taille en cours de route qui finalement ne sert qu'à revenir au statu quo. Les conséquences pour les personnages sont mécaniques. Le lecteur apprécie que les auteurs aient tenté quelque chose de différent, mais ils n'ont pas réussi leur coup.
B**S
Why did they do this?
When David Walker and Sandford Greene revamped the buddy duo of Power Man and Iron Fist, I was on board. Although I had never been a big fan of these two, I totally fell over (see my review of Power Man and Iron Fist Vol. 1: The Boys Are Back In Town (Power Man and Iron Fist (2016-2017)) ).After only 16 issues Greene left or was dismissed. Danny Rand had to go too to have an own book. They separated Luke and Jessica and took him out of Harlem.Why? What makes Luke Cage strong is that he has a street level home, some history and great supporting personnel. What makes him strong is the odd pairing with a careless billionaire boy who has an iron fist. They took it all away. I do not know whether this was editorial decision or creative decision by Walker, but it does not work for me. The book changed in tone totally, and I miss both the supporting cast and the quirky pencils of Greene.When Luke Cage hears about the death of Dr. Noah Burstein, the man who made him Power Man, he goes to New Orleans for the funeral. But things are not always what they seem. The story is okay, the pencils of Nelson Blake flawless, but after Harlem all this is not quite my cup of tea. This volume collects Luke Cage #1-5. I will read on but without enthusiasm. Now I have to wait for “Bitter Root” by Walker/Greene at Image Comics. Power Man and Iron Fist Vol. 1: The Boys Are Back In Town (Power Man and Iron Fist (2016-2017))
N**B
Sweet chrismas 😃
I really enjoyed this good plot but if u watched the Netflix series Luke's connection to Noah burnstien is completely different it does show that not every one with powers is destined to be a hero warhawk should really have his own book as the more interesting of burnstiens so called children
M**.
Great book
Coming again under rated hero but one of the best with the biggest heart
Trustpilot
2 weeks ago
2 months ago